Avant propos...

Comment savoir où commence une histoire ? Et comment être sûr de choisir la bonne fin ?

Par le biais de mes chroniques, j’ai voulu vous raconter mon histoire… l’histoire d’un garçon qui rêvait simplement d’écrire des histoires. 

Ecrire n’est pas chose aisée… L’écriture est une ouverture, une perpétuelle recherche, une découverte infinie. Il faut être un insatiable curieux pour trouver le besoin d’écrire, ne craindre ni les frontières, ni les interdits. En revanche écrire sur soi est un tout autre voyage. Cela nécessite un repli, une introspection sincère et raisonnée mais aussi une certaine pudeur. 

L’histoire et les chroniques que je vais partager avec vous sont une fenêtre sur mon intimité, sur mes peurs et mes aspirations. Ce blog que j’ai ouvert en 2010 m’a permis de poser tant de questions, de confronter tant d’idées et d’extérioriser tant de peurs sur mon désir d’écriture. Le début de mon histoire devait-il forcément être la création de ce blog ? Et la fin inévitablement la victoire sur mes peurs et la réponse à mes nombreuses questions ?

Le long chemin que j’ai parcouru et que je suis toujours m’a fais comprendre que la réalité de mon histoire est toute autre. Je vous laisserez seul juge de la véritable fin de ce périple et seul maître de la morale à en tirer.  

Ecrire c’est aimer… J’aime l’idée que cet amour des mots pourra peut être éclairer d’autres routes, devenir votre chez vous autant que mon chez moi. Au delà de l’écriture, au coeur de mes chroniques, il est question de rêves, de dépassement de soi et d’émancipation. Grandir avec ses rêves : voilà le message de ce journal.

Grandir ne signifie pas forcément réaliser ses rêves ou les abandonner. La vraie maturité, c’est d’apprendre à les conserver, à les étoffer et ne pas les trahir quoi qu’il en coûte même si au bout du chemin ils ne se concrétisent jamais. Heureusement la vie a doté l’être humain d’une valeur fondamentale : L’espoir… Et tant qu’il y a de l’espoir, il y a toujours des rêves.

Je grandis un peu plus chaque jour, je continue d’aimer, de chercher à aimer, d’aimer écrire, d’écrire sans oublier d’aimer et d’aimer croire qu’un jour je ne serai peut être plus… Un auteur perdu. 

Voilà le commencement de mon histoire… Ou peut être s’agit-il de la fin ? Je vous laisserez répondre à cette question… Mais pour vous en faire une opinion, il faudra suivre le chemin de l’histoire qui va suivre…